Laurent Paradot**, un talent musical éclectique

Qui êtes-vous ?

Je suis laurent paradot, je suis musicien depuis 10 ans et intermittent depuis deux ans.


Quel est votre projet ?

J'ai commencé la musique avec un groupe jarnacais "Headcases" avec qui j'ai appris le metier, fais environ 200 concerts, fais une tournée aux USA et été signé par un label français et américain.
En parallele j'ai monté un duo basse batterie "Gâtechien" (dont je suis le bassiste chanteur) avec lequel j'ai tourné dans plus de dix pays, joué dans des salles de spectacles spécialisées et je viens d'enregistrer mon quatrieme album avec Ted Nicely, le producteur de Noir Désir.

La Nef m'accompagne depuis le dèbut dans mes démarches artistiques et j'ai même le sentiment d'avoir été chancheux,  car j'ai joué sur les trois édition de la Garden Nef Party.

J'ai crée deux projets solo annexes dont "La parade", où je fais l'homme orchestre (le remi brica du punk rock) et un set acoustique ou je chante en français dans un univers proche de bashung ou miossec.


Pourquoi serez-vous présent à Place aux jeunes ?

C'est cette derniere formule en acoustique que je vais présenter le 22 octobre, lors du concert du soir.
Je travaille depuis le début de ma carriere avec la DDJS et elle m'accompagne dans mon développement artistique. Elle m'a déja aidé à trouver des fonds pour faire une tournée à l'étranger, aller enregistrer dans un studio réputé à Angers, faire des disques promotionnels, le tout avec l'aide de Cécile Le Masson.
J'aurais aussi l'occasion de parler ces expériences dans l'après-midi.


> En savoir plus :
www.myspace.com/laurentparadot

Le mot de Place aux jeunes :

Laurent Paradot est d'autant plus un musicien accompli qu'il a testé de nombreux genres. Nous l'avons rencontré il y a quelques années quand Headcases, qui n'avait pas la renommée qu'il a maintenant ;-), cherchait des sous pour enregistrer un premier album de manière professionnelle. Las, le groupe a pu obtenir des sous de la Région et s'est  dispensé de se présenter au Défi jeunes, malgré quelques heures d'accompagnement !
Finalement, Laurent a su retrouver le chemin de la DDJS pour la groupe Gâtechien et avec des besoins si modestes pour un enregistrement live qu'il a finalement sollicité ID clic', le dispositif départemental.

De l'électro énergique en passant par le punk décomplexé de La Parade, le voici maintenant en accoustique et en français (dire qu'il avait dit à l'époque que c'était ringard de chanter en français !) : on s'est dit qu'il était enfin présentable :-D et on l'a invité ! Venez donc mercredi soir tester Laurent dans ce nouveau genre et dites-nous ce que vous en pensez...